La méchante mère.
Il était une fois une
femme appelée Jasmine. Son mari était mort il y a deux ans. Surtout elle était
méchante que gentille, voir complètement cruelle. Depuis que son mari était mort elle
maltraitait ses propres enfants : elles les frappaient sans arrêt, quand
bon lui semble et les privait de nourriture quand elle voulait garder la
nourriture pour elle toute seule. Chaque fois qu’elle rentrait du marché elle forçait
ses enfants à vendre pour elle tout en les privant d’école et d’amis. Les
enfants maigrissaient mais sa méchanceté était si musclée qu’elle ne montrait
aucune pitié. Victor était l’un des enfants de Jasmine.
Personne n’était plus
intelligent que lui dans son quartier et ne voulait jamais arrêter d’aller à
l’école. Il demandait de l’aide à ses amis et élaborait un plan avec ses frères
et sœurs pour fuguer.
L’occasion se présenta
enfin : Quand leur soidisante mère Jasmine était partit pour le marché,
Ils rassemblèrent leurs habits et se dirigèrent vers la gendarmerie gardant
l’espoir que l’un d’eux comprendrait leur plainte. Arrivée à destination ils vomissaient
tout qu’ils avaient sur le cœur.
Les chardonnerets
avaient toutes les preuves nécessaires pour jeter leur mère en prison mais en
attendant les soldats conduisirent les
enfants dans une famille d’accueil où ils seraient aimés et traités comme de
vrais enfants.
Pendant ce temps,
Jasmine se disait qu’elle avait du pain sur le feu : elle n’avait plus
personne avec elle. Soudain on sonna au
portail : elle était persuadée que ses enfants étaient rentrés et qu’elle
allait leur appliquer une bonne correction sans doute ; mais quand elle
ouvra le portail elle vit trois soldats au complet ; un avec des menottes.
Tout en tremblant elle salua tout le monde et faisait semblant d’être une bonne
mère, gentille et douce. Mais quand ces soldats regardèrent tout autour, ils
confirmèrent que les plaintes de ces pauvres enfants étaient justes. Jasmine allait se faire arrêter et jeter
derrière les barreaux pour avoir maltraiter des enfants sans raison. Plus vite
que possible on la passa les menottes aux poignets et la jeta en prison.
C’était pour une bonne cause !
Après quelques jours les enfants
furent adopter et Victor allait pouvoir retourner à l’école avec ses frères et
sœurs .
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