L'impossible, atteint.
C'est l'histoire d'un jeune nommé Silas. Silas était un jeune étudiant brillant qui rêvait de devenir un grand entrepreneur. Sa famille avait des problèmes financiers à cause d'un problème de santé. Son père été gravement tombé malade. Pour aider sa famille, Silas a décidé de chercher un travail pour gagner un peu de sous qui viendrait en aide à soigner son papa chéri.
Un matin, il partit à la recherche d'un travail. Il se promena partout mais personne ne voulait de lui. Il se dirigeait vers les restaurateurs, les cuisiniers, les garagistes, mais personne ne voulait de lui. Il avait même supplier un vendeur pour travailler chez lui mais il a été renvoyé à coups de balaie. Plus le temps passait et plus il se décourageait. Le premier jour,il était rentrer bredouille. Le deuxième jour également. L'état de son père était critique. Silas savait ce qu'il devait trouver une solution à temps mais il ne savait pas ce qu'il devait faire. Sa mère faisait beaucoup d'efforts mais son argent ne suffisait pas à payer les médicaments nécessaires...
Une semaine plus tard, son père était décédé laissant sa mère et lui dans une vie de pauvreté. Après ça, les pires choses qu'ils pouvaient imaginer se produisaient. Sa mère et lui n'avaient nulle part où dormir.Personne ne voulait les recevoir. Chaque nuit, ils partaient dans une ruelle près d'une poubelle où se trouvait de gros morceaux de cartons qui leur servait de couverture.
Silas n'allait plus à l'université. Ces genres de moments, lui mettaient les larmes aux yeux. La pression, plusieurs moments de réflexion 💭, les pensées négatives ne cessaient jamais de le hanter. Il n'arrivait jamais à atteindre ses objectifs. Un jour, il décida de se suicider. Il prit quelques pièces dont sa maman disposait pour gérer la nourriture. Il partit pour acheter un médicament nuisible. Il alla dans un endroit sans prévenir la moindre personne. Il s'assura que personne ne l'avait suivi. Avant de boire le médicament il dit :<<Maman! Ma maman. Je t'ai causé beaucoup trop de soucis ! Je n'arrive pas à atteindre mes objectifs. Je ne veux pas à ta charge. Je ne veux pas être un frein pour ta vie. Je vais te quitter. De cette façon, tu gagneras beaucoup plus d'argent pour t'occuper de ta personne. >>
Il s'apprêtait à boire le médicament quand il entendit une voix : <<Oh! Mon garçon ne fais pas ça ! Ne fais pas ça ! Ne te tues pas ! >> Ce vieillard l'avait suivi depuis qu'il l'avait aperçu entrain de payer le médicament. Le vieillard s'approcha de lui et lui dit: << Pourquoi fais-tu cela ? >> Silas lui répondit :<<J'en ai marre de cette vie et je n'arrive jamais à atteindre mes objectifs. Laissez moi me suicider. Vous me déranger. >>
Silas prit le flacon dans lequel se trouver le médicament et le dirigeait vers sa bouche. Mais le vieillard attrapa sa main. Silas s'énerve et lui dit d'un ton menaçant: << Mais qui êtes vous ? Comment osez vous me tenir la main ? Vous m'énervez lâchez moi ! >> Mais le vieillard refusa de lâcher sa main. Silas commença à crier et finit par mordre le vieillard. Le vieillard saignait mais il refusa de le lâcher. Silas continuait de crier.Le vieillard leva sa deuxième main et le gifla. Mais Silas ne cessait de crier et de mordre le vieillard. Malgré les circonstances, le vieillard le tenait fermement. Silas s'énervait de plus en plus. Finalement, il lâcha le flacon de médicament au sol prit sa seconde main et tira la main du vieillard de toutes ses forces. Il réussit à libérer sa main.
Le vieillard lui dit : << Voilà comment tu dois faire pour atteindre tes objectifs. De la même manière que tu as persévérer et tu as été déterminant pour libérer ta main, tu dois en faire de même pour atteindre tes objectifs. Si tu n'as pas la volonté requise pour atteindre tes rêves, pour résoudre tes problèmes, si tu n'as pas du courage et de la persévérance pour continuer d'avancer en toute circonstances, tu ne pourras jamais traverser les épreuves de la vie. >>
Le vieillard reprit et dit : << Tout cela constitue les onze propriétés de la vie :
- La vie n'essaie pas de nous tuer, elle nous forge.
- La vie n'essaie pas de faire disparaître la potentialité qui est en nous, elle l'emplifie.
-La vie n'essaie pas de tuer le lion qui est en nous, elle l'entraine.
- La vie n'essaie pas d'éteindre le feu qui est en nous, elle l'augmente d'ampleur.
- La vie ne veut pas que nous restions debout, elle nous fait tomber pour nous entraîner à se relever.
- La vie nous donne des coups, pour nous rendre insensible et nous apprendre la résistance.
- La vie ne nous donne pas à manger, elle nous apprend à se procurer soi-même de la nourriture.
- La vie nous tire en arrière, pour nous apprendre à courir et à fuir le danger.
- La vie nous crée des problèmes, pour nous apprendre à les affronter.
-La vie nous fait pleurer, pour nous apprendre à garder le sourire dans les pires moments.
- La vie nous fait rencontrer les bonnes et les mauvaises personnes, pour nous apprendre à distinguer le blanc et le noir.
La vie sélectionne ceux qu'elle veut envoyer vers la réussite. Si tu n'es pas prêt à accepter les onze propriétés de la vie, tu n'es pas prêt à réussir.
Les larmes coulèrent sur la joue de Silas. Il était ému. Et il n'arrivait pas à croire que ce vieillard venait de lui apprendre une chose précieuse juste en lui tenant fermement la main. Il remercia sincèrement le vieillard et partit à la recherche d'un travail. Trois ans s'écoulèrent après sa rencontre avec le vieillard. Mais il ne trouva aucun travail. Il chercha continuellement du travail. La quatrième année, il trouva un boutiquier qui voulait bien de lui dans sa boutique. Il travailla avec le boutiquier pendant deux ans. Après ça, il investit dans un petit champ à la campagne et il développa son domaine agricole. Quelques années plus tard, il était monstrueusement riche et il possédait un grand champ. Il avait beaucoup évolué. Pas seulement du côté matériel, mais également du côté mental. Sans oublier sa mère, qui était très heureuse. Elle pouvait mourir en paix.
Désormais, Silas savait qu'un objectif pouvait s'atteindre avec de la patience, du courage et de la volonté.
FIN
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Daniel AWANYO.
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